
|
Certains d'entre vous qui sont passés par chez nous ont pu voir, dans son état d'origine, la Bleuette que je vous présente ici.
Pendant plus de dix-huit mois, je n'ai pas voulu y toucher, ne voulant pas lui ôter ce qui, à mes yeux du moins, faisait tout son intérêt et son charme : son parfum poussiéreux d'autrefois !
Je me sentais indiscrète d'intervenir, de laver son visage très sale, de lessiver sa lingerie très noire, de nettoyer ses vêtements, bref de lui enlever sa poussière d'époque qui faisait qu'elle était Elle et pas une autre.
|